Supprimer les comportements insatisfaisants et développer les comportements satisfaisants.
Devenir son propre mentor
Actuellement, il est primordial d’être performant en soft skills. Devenir Son Propre Mentor (DSPM) va vous permettre de progresser étape par étape, de manière autonome et structurée.
La première étape est ce diagnostic gratuit. En 5 minutes, découvrez votre niveau actuel de connaissance et de pratique des soft skills, afin d’identifier vos leviers de progression.
Quand trois générations — l’expérience, l’expertise et la compétence — proposent de devenir son propre mentor pour supprimer les comportements insatisfaisants et développer les comportements satisfaisants.
Ils auraient pu rester chacun à leur place.
À l’âge qu’on leur assigne.
Dans les rôles que la société attend d’eux.
Ils ont choisi d’en sortir
Jean-Jacques
82 ans, incarne l’expérience vécue.
Docteur en sciences de gestion à 72 ans, il aurait pu ralentir, transmettre une dernière fois, puis se retirer.
Il a choisi l’inverse : il persévère.
Il s’engage dans une start-up.
Il continue à penser, structurer et créer.
Parce que la curiosité n’a pas d’âge.
Et que l’élan intérieur ne prend pas sa retraite.
Depuis plus de soixante ans, Jean-Jacques explore une question fondatrice :
comment un être humain peut-il apprendre par lui-même et devenir son propre guide, son propre mentor ?
Aujourd’hui, ce travail trouve une forme nouvelle, tournée vers l’avenir.
Michel, 55 ans, incarne l’expertise acquise.
Bac –3, diplômé de l’ESCP à 36 ans, il est passé de barman à PDG grâce au mentorat.
En observant.
En écoutant.
En expérimentant.
Aujourd’hui, il continue à faire plaisir, à créer du lien et à transmettre son expérience et son expertise.
Sans le savoir, il appliquait déjà les principes de l’apprentissage autonome :
identifier ce qui ne fonctionne pas, ajuster ses comportements, renforcer ce qui apporte de la satisfaction.
C’est cette pratique concrète qui a façonné sa carrière.
Lorsque Michel rencontre Jean-Jacques, une évidence s’impose.
L’un met des mots sur ce que l’autre vit.
L’autre incarne ce que l’un théorise.
Depuis vingt ans, ils avancent ensemble autour d’une même conviction :
devenir son propre mentor est une compétence qui s’apprend et se cultive toute la vie.
Puis arrive Victor, 27 ans, incarnation de la compétence en développement.
Jeune autodidacte, il s’est construit un parcours atypique, loin des cursus traditionnels.
En apprenant seul.
En testant.
En construisant.
Il a choisi de comprendre plutôt que de suivre.
Développeur dans l’âme, il maîtrise son art par une curiosité insatiable et une pratique constante.
L’IA n’est pas son professeur, mais son outil, qu’il façonne autant qu’il l’utilise.
Il construit son savoir en marchant, projet après projet.
En l’intégrant, une évidence apparaît :
cette start-up est intergénérationnelle et inclusive par nature.
Trois âges.
Trois parcours.
Trois manières d’apprendre et d’évoluer.
Et ce détail, aussi symbolique que signifiant :
Victor a 27 ans, Michel 55 ans, Jean-Jacques 82 ans.
27 + 55 = 82.
Comme si l’élan de la jeunesse, l’expertise professionnelle et l’expérience de la maturité se rejoignaient pour refléter la puissance de la sagesse d’une vie entière.
C’est ainsi qu’est née La SAS – Devenir Son Propre Mentor (DSPM).
Une entreprise où :
-
l’octogénaire innove encore et entreprend,
-
le barman continue à faire plaisir tout en transmettant,
-
l’informaticien construit sa carrière avec l’IA.
Un projet qui affirme que l’on peut, à tout âge :
-
supprimer les comportements insatisfaisants,
-
développer des comportements satisfaisants.
S’ils ont choisi aujourd’hui de partager cette aventure avec le monde, ce n’est pas pour dire quoi penser ou comment faire.
C’est pour montrer que ce qui les relie — la capacité à apprendre par soi-même — est accessible à tous.
Trois parcours différents.
Une même boussole.
Une certitude commune.
Chacun peut apprendre à Devenir Son Propre Mentor.

